Modélisation hydrologique avec bilan énergétique (EVAP-2)
Ce projet permettra de développer un cadre opérationnel pour la projection climatique à des fins hydrologiques, en région froide.
Ce projet permettra de développer un cadre opérationnel pour la projection climatique à des fins hydrologiques, en région froide.
Ce projet facilitera l’accès à des données climatiques historiques et futures de neige au sol sur l’ensemble du Québec à une résolution de l’ordre de 10 km. Ainsi, les usagers et décideurs de nombreux secteurs auront en leur possession un plus large éventail d’informations climatiques à intégrer dans leurs plans d’adaptation.
Les responsables de la sécurité publique, des gestionnaires de systèmes hydriques et des chercheurs en hydroclimatologie pourront notamment mieux évaluer les impacts du changement climatique sur les ressources en eau en fonction des transformations au niveau du couvert végétal.
Les résultats de ce projet offrent un portrait climatique et hydrologique régional en climat actuel et futur plus complet et précis pour soutenir la prise de décision relativement à l’identification des impacts et des solutions d’adaptation à planifier et mettre en oeuvre pour les interventions en transport.
Ce projet vise à faire une mise à jour d’une partie de la base de données ayant servi dans la chaîne de modélisation et de fournir à la DEH un nouveau jeu de données qui pourra piloter HYDROTEL.
En estimant des niveaux d'eau dans des secteurs non-jaugées, les stations virtuelles contribuent à l’amélioration de ces outils essentiels. Basée sur des images gratuites et facilement accessibles, l'approche permettra aux acteurs concernés d'obtenir des données sur de multiples secteurs, à une fréquence quasi-journalière et à peu de frais.
La connaissance de l’incertitude permettra une meilleure compréhension du phénomène d’inondation ainsi qu’une estimation plus adéquate des zones inondables.
Le projet permettra d’améliorer l’efficacité dans la production de services climatiques et dans la traçabilité des résultats ainsi que d’améliorer la prise en compte des besoins de la science du climat par les organismes développant les standards internationaux.