Projets de recherche et publications

Les gestionnaires du Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs seront mieux outillés pour évaluer la qualité de l'habitat des salmonidés dans les lacs nordiques du Québec. Ils pourront ainsi prioriser les actions pour adapter la gestion de la ressource en fonction de la réponse de l'habitat du poisson aux changements climatiques, en se basant notamment sur l'évolution de la température et de l'oxygène dissous dans les lacs.

Les acteurs concernés pourront se baser sur une science robuste tenant compte des changements climatiques afin de maintenir l'intégrité écologique du patrimoine naturel du Nord du Québec et d'ajuster leurs interventions dans l'aménagement et la conservation du territoire au Nunavik.

Au terme de ce projet, les acteurs responsables de la gestion et de la conservation de la région du lac Papineau et de ses écosystèmes auront en main des recommandations pour la mise en œuvre de plans de gestion à long terme en tenant compte des changements climatiques et des impacts cumulatifs sur les lacs et les milieux humides.

La diversification des arbres urbains selon l’approche des groupes fonctionnels s’avère une excellente stratégie afin d’augmenter la résilience du couvert forestier urbain face aux changements climatiques et changements globaux

Les résultats de ce projet permettront aux décideurs, aux responsables de la planification écologique et aux sociétés minières d'élaborer des stratégies d'adaptation et des mesures de développement industriel et de conservation de la biodiversité à partir de données scientifiques robustes prenant en compte les effets des changements climatiques sur les milieux humides d'Eeyou Istchee Baie-James. 

Les résultats de ce projet seront très utiles dans le développement d'outils d'aide à la planification de mesures de santé publique visant à prévenir l’exposition humaine à la rage vulpine dans le climat rapidement changeant du Nunavik et du Labrador.

Les stratégies d’adaptation proposées à l’issue du projet permettront aux acteurs gouvernementaux et les différents organismes concernés de mieux déterminer les habitats d’intérêt pour la sauvagine, en lien avec l’aménagement du territoire, les réseaux d’aires de conservation et les pratiques forestières et agricoles.

Ce projet de recherche vise à mieux connaître les dynamiques entourant la prolifération des fleurs d’eau de cyanobactéries et des cyanotoxines sous l’effet des changements climatiques. Les résultats permettront d'établir des mesures d'adaptation qui serviront de base solide pour la conservation de la biodiversité.

La quantification économique des services écosystémiques générés par le capital naturel permettra de soutenir la prise de décision dans l'aménagement du territoire. Ces résultats permettront aux décideurs municipaux et provinciaux de mieux comprendre les impacts des voies alternatives sur le bien-être de leurs collectivités.

Les outils de planification et d’action des décideurs bénéficieront des connaissances issues de ce projet, favorisant ainsi l'adaptation du secteur de la phytoprotection aux changements climatiques. Les résultats obtenus permettront également aux clubs d'encadrement technique de planifier l'adaptation progressive de leurs services aux producteurs.

Grâce à ce projet, les producteurs et les conseillers agricoles seront mieux informés sur les avantages et les limites du drainage contrôlé en tant que mesure d’adaptation à l’évolution attendue du climat.

Cet état des lieux permettra de faciliter la concertation entre les acteurs des différents secteurs concernés et d'adopter une approche intégrée afin de mieux comprendre les problématique du secteurs des pêches et de l'aquaculture dans un contexte de changements climatiques.

Ce projet a permis de sensibiliser les intervenants au travers d’une démarche collective qui favorise l’échange des points de vue sur les changements climatiques et sur les façons de s’y adapter.

Grâce à ce projet, un grand nombre d’organisations agricoles, de groupes de producteurs, d’experts québécois, de centres de recherche et d’institutions d’enseignement sont davantage mobilisés en faveur d’une meilleure compréhension des enjeux et des menaces provoqués par les changements climatiques. La résilience aux changements climatiques est ainsi plus accessible et accentué pour de nombreuses fermes québécoises.

Les résultats de ce projet permettent aux gestionnaires des fermes laitières de mieux choisir des mélanges fourragers adaptés aux conditions climatiques actuelles et futures. Ils fournissent également des solutions afin de diminuer le risque de stress thermique dans les étables pendant les épisodes de forte chaleur estivale.