Projets de recherche et publications

Ce sujet à l'étude examine le rôle des cadres de suivi et d'évaluation (S&E) de l'adaptation et leurs contributions à la résilience climatique du secteur de l'électricité.

Ces quatre publications traitent des recommandations sur la gestion des plaines inondables dans le bassin versant transfrontalier du lac Champlain et de la rivière Richelieu présentées à la Commission Mixte Internationale.

Ce projet s'intéresse aux conséquences d'événements extrêmes liés aux changements climatiques. Il s'agit notamment ici d'analyser le lien direct entre les émissions de CO2 et des impacts socio-économiques comme la perte de productivité des travailleurs durant les épisode de chaleurs intenses. 

Ce projet vise à doter le Québec d’une méthode d'estimation des besoins en eau actuels et futurs des principaux secteurs d’activités économiques tout en considérant les impacts des perturbations climatiques et le développement socio-économique sur la disponibilité en eau. 

Des collaborations existantes et bien établies avec le Mexique et la Bavière sont mises à profit dans ce projet, afin de permettre au Québec d’initier le développement d’une base de connaissances sur des pratiques et outils pour le partage de l’eau lorsqu’elle est limitée. 

Ce projet de recherche collaborative invite les petites et moyennes entreprises (PME) touristiques des Îles-de-la-Madeleine et des Laurentides à développer et expérimenter des mesures d’adaptation aux changements climatiques.   

Le projet a permis une amélioration de la cinquième génération du Modèle régional canadien de climat (MRCC5), ce qui rendra possible la production des projections climatiques utiles aux études de vulnérabilités, d’impacts et d’adaptation. Ce projet contribuera à notre compréhension de processus spécifiques devant être pris en compte dans les études des changements climatiques.

Le succès de ce projet a fait en sorte que le verglas et le grésil font maintenant partie des sorties standards disponibles dans les projections climatiques du MRCC5 produites à Ouranos. Le développement d’une méthode plus complexe (avec microphysique), mais adaptée au coût de calcul d’un modèle de climat est également dans la mire pour les années futures.

Les résultats du projet permettront d'appuyer les efforts de réduction des polluants atmosphérique d'origine anthropique; et de cibler les interventions dans les régions et auprès des populations plus à risque côté pollution, pour maximiser les efforts d'adaptation à ces endroits.

Ce projet a permis d'établir un portrait du climat pour la période 1986 à 2005, en partie grâce à une méthode d'estimation des valeurs manquantes développée par Ouranos. Les bases du réseau optimal obtenu sur l'analyse des données de température devront être fixées en les appuyant sur les données de différents paramètres climatiques.

De nouveaux outils de modélisation et d’aide à la gestion intégrée des barrages du bassin de la rivière Outaouais ont été proposés pour tenir compte, en particulier, des contraintes grandissantes de gestion des barrages.

Ce projet, en collaboration avec les agences gouvernementales, les comités de conseils des bassins versants et les agriculteurs, a permis de développer des stratégies d'adaptation aux changements climatiques, dans l'optique d'améliorer la qualité des plans d'eau et la capacité de récupération des écosystèmes. 

Le projet "Climat reconstruit à Ouranos pour le Québec" (CROQ) a permis la création d’une base de données complète et cohérente pour plusieurs variables météorologiques d’intérêt pour les usagers pour le climat récent du Québec. Par exemple, les précipitations de CROQ ont commencé à être utilisées pour l'interpolation des courbes IDF dans le cadre d'un projet avec Hydro-Québec et pour faire le post-traitement des extrêmes dans le cadre d'un projet Info-Crue.

La base de données CANOPEX peut servir de base de référence pour les études sur le changement climatique et les mesures d’adaptation au sein d’un cadre cohérent pour l’ensemble du Canada. De plus, la réanalyse des données a montré qu’elle produit un jeu de données de référence meilleur que tout autre produit existant dans les régions à faible densité de stations météorologiques. 

Ces travaux montrent que l'espèce la plus répandue et exploitée dans la forêt boréale de l'Est du Canada, pour ses qualités exceptionnelles, présente une résistance surprenante à des traitements simulant un réchauffement climatique à moyen terme (8 ans).